Lambert, divorcé d’avec, la désormais ex épouse, Vanessa, mi-ange mi-demon, est astraint au paiement de la pension alimentaire.
Avant que le divorce ne soit acté par le tribunal, pendant la séparation de corps, Lambert versait régulièrement ladite pension par l’intermédiaire d’un clandoman.
Au prétoire, Vanessa nie avoir reçu un kopeck de Lambert représentant une quelconque pension alors qu’elle a deux enfants avec lui. Et ceci depuis un an déjà.
Tombé des nues, Lambert tente de justifier qu’il s’est toujours acquitté de ses obligations en vain. Faute de preuve, car Vanessa faisait pas de décharge quand elle recevait les sous. Derechef, le tribunal contraint l’ex mari au paiement des rappels, 20 mille francs par enfant sur 12 mois.
Pour éviter de revivre la même situation, Lambert décide de passer dorénavant par l’entremise d’un officiel public, Me Roublard (un nom d’emprunt) huissier de justice.
Les six premiers mois sont passés sans encombres. Comme le malheur ne vient jamais seul, Lambert est tombé gravement malade, il a gardé le lit pendant 3 mois. En dépit de cela, il s’acquittait régulièrement de ses obligations alimentaires envers celle qui jadis il l’appelait affectueusement » honey » qui s’ est mutée en chloroquine désormais.
L’huissier Me Roublard qui a coutume de s’asseoir sur la loi plutôt que de l’appliquer n’a pas fait parvenir la pension du dernier trimestre [ juin à août] à Vanessa malgré L’insistance de cette dernière.
Argentivore-née, Vanessa, par le biais de son conseil, relance son ex mari. Une fois de plus surpris indique qu’il n’a jamais manqué à son devoir. L’huissier ne répond plus aux appels.
L’avocat de M. Lambert entend saisir la justice dès la semaine prochaine si Me Roublard ne revient pas aux meilleurs sentiments. Comme quoi, un homme de loi peut être en conflit avec la loi.]
